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03/09/2012

Calendrier des réformes - Président de la République /Foire de Châlons-en-Champagne

Hollande,rentrée 2012,calendrier réformes

Les premières conventions pour l'embauche de jeunes sans qualification qui sont massivement frappés par le chômage dans les quartiers ou dans des zones rurales éloignées de l'emploi, seront signées dès le début du mois d'octobre. Un volet « formation » sera prévu.

Le Contrat de génération présenté dans les jours qui viennent aux partenaires sociaux.

 

Formation professionnelle. J’entends que tous les acteurs soient désormais mobilisés sur cet objectif.

Croissance. Le chômage ne sera vaincu que si l'activité reprend, au G8 avec les pays les plus puissants de la planète, puis au Conseil européen du 29 juin dernier nos partenaires ont compris qu'ils devaient conjuguer des disciplines budgétaires, par ailleurs nécessaires, avec le financement de projets concrets sur nos territoires, 120 milliards d'euros ont été dégagés, pour l'Europe toute entière, j'ai demandé au gouvernement, avec les Régions, de proposer des projets de développement.

 

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11/05/2012

Déclaration de patrimoine du nouveau Président au Journal Officiel du 11 mai 2012

patrimoine sarkosy

A l'occasion de son entrée en fonction, François HOLLANDE, Président de la République, a déclaré sa situation patrimoniale.

 

Présidentielles : résultats du second tour dans les Alpes-Maritimes

 resulstats 2e tour présidentielles alpes maritimes

Bureaux de vote : Résultats Présid Burvot 2012 T2.xls

Communes : Résultats Presid 2012-Comnunes 06 T2.xls

Cantons : Résultats presid 2012 Cantons 06 T2.xls

Circonscriptions législatives : Résultats presid 2012 Circo-LG 06 T2.xls

06/05/2012

François Hollande Président de la République Française

Hollande Président de la répubiqueFrançois Hollande est Président de la République

Le programme pour 5 ans



27/04/2012

Titre «Un tiers des pays dans le monde ont ouvert le droit de vote à des étrangers»de la note

 

Par CORDÉLIA BONAL recueilli par

Politologue au CNRS, Hervé Andrès, est l'auteur d'une thèse de doctorat sur le droit de vote des étrangers («Le droit de vote des étrangers, Etat des lieux et fondements théoriques », université Paris Diderot, 2007, à consulter ici).

Peut-on dire aujourd’hui que la majorité des pays européens ont mis en place le droit de vote des étrangers aux élections locales ?

Oui... et non. Les 27 Etats membres de l’Union européenne ont tous au moins ouvert le droit de vote aux résidents européens. Seulement dix Etats de l’UE (dont la France) se sont limités à cette seule ouverture.

Quatre autres Etats de l’UE ont des dispositions permettant l’ouverture supplémentaire à certains citoyens non membres de l'UE, mais pas à tous (au citoyens du Commonwealth seulement s'agissant du Royaume-Uni, selon des accords bilatéraux de réciprocité en Espagne, de réciprocité et de lusophonie au Portugal...).

Treize Etats membres de l’UE permettent à tous les résidents étrangers de voter, au moins aux municipales. Hors de l’Union européenne, seuls deux Etats (Islande et Norvège) accordent également le droit de vote à tous les résidents étrangers. Et de plus, en Suisse, plusieurs cantons accordent également ce droit.

Au total, les pays restreignant le droit de vote municipal à leurs seuls ressortissants sont minoritaires en Europe (14 sur 44), mais les modalités d’ouverture sont diverses. L’ouverture sans distinction de nationalité, telle qu’elle est envisagée en France, est pratiquée dans 15 Etats plus quelques cantons suisses.

Y a-t-il des constantes dans les conditions imposées ?

La durée de résidence exigée varie, je crois de quelques mois à cinq ans au maximum. Il y a différents modèles d’ouverture du droit de vote sur la base de liens culturels (Conseil nordique, Commonwealth, communauté linguistique, etc.). Le Royaume-Uni reconnaît le droit de vote et d’être élu à tous les citoyens du Commonwealth (Inde, Pakistan, Nigeria, etc.) pour toutes les élections et, avec les Européens, c’est donc une grande majorité des étrangers qui ont le droit de vote aux élections municipales.

En Espagne, c’est également une majorité des étrangers qui a potentiellement le droit de vote aux élections municipales grâce à des démarches diplomatiques récentes favorisant la réciprocité. Cela a contribué à faire évoluer le Maroc. L’article 30 de la nouvelle constitution marocaine adoptée par referendum en juin 2011 dispose que «(...) les étrangers (...) qui résident au Maroc peuvent participer aux élections locales en vertu de la loi, de l’application de conventions internationales ou de pratiques de réciprocité».

Et ailleurs dans le monde ?

Aux Etats-Unis, quelques communes reconnaissent le droit de vote municipal et la question est en débat. A New York, la proposition instaurant le droit de vote des étrangers est actuellement soutenue par 22 conseillers municipaux sur 51 et il n’en manque donc que 4 pour gagner la majorité, ce qui a de bonnes chances de se faire d’après ce que m’a dit récemment le coordinateur de cette campagne. A Toronto, une campagne est également en cours.

En Amérique centrale, la situation est diversifiée mais une dizaine de pays accordent droit de vote et éligibilité aux citoyens du Commonwealth. En Amérique du Sud, la règle générale, c’est la reconnaissance du droit de vote aux étrangers. Seul le Surinam réserve le droit de vote à ses nationaux.

En Afrique, au moins 9 Etats sur 53 accordent également le droit de vote à des étrangers. En Asie et Océanie, les expériences sont limitées (Corée du Sud, Jérusalem-Est, Hong-Kong, Australie, Nouvelle-Zélande).

Au total, un tiers des pays dans le monde ont actuellement ouvert le droit de vote à des étrangers, surtout à la fin du 20e siècle et au début du 21e siècle.

Les exemples des nos voisins tendent-ils à accréditer l’idée, mise en avant par Nicolas Sarkozy, selon laquelle autoriser ce vote favoriserait le communautarisme ?

La question qui est posée est de savoir si le fait d’exiger l’acquisition de la nationalité permet d’écarter les comportements communautaristes. Est-ce que les électeurs seraient moins communautaristes si on leur demande d’acquérir la nationalité française ? Est-ce que les électeurs étrangers seraient plus enclins au communautarisme que les nationaux d’origine étrangère ou les nationaux «de souche» ?

A ma connaissance, les expériences européennes ne permettent pas d’accréditer l’idée d’un communautarisme dû spécifiquement au vote des étrangers. En France, est-ce que les électeurs portugais (qui ont déjà le droit de vote municipal) sont plus communautaristes que les électeurs d’origine portugaise ?

Communautarisme et nationalité sont deux questions différentes.

En France, de quand date le débat ?

Dès le début des années 1970, les travailleurs immigrés prennent une place importante dans l’espace politique français, en menant et en participant à de nombreuses luttes (dans les entreprises, pour la carte de séjour, le droit au logement, etc.). En 1972, le programme commun de la gauche prévoit, dans le chapitre «emploi», que «les travailleurs immigrés bénéficieront des mêmes droits que les travailleurs français. La loi garantira leurs droits politiques, sociaux, et syndicaux.» La question de savoir si les droits en question doivent être exercés en France ou dans le pays d’origine n’est pas vraiment tranchée. Dans de nombreux pays d’émigration, la démocratie n’existe pas, et en tout cas, le droit de vote des émigrés est le plus souvent nié.

En 1973, le PSU (parti socialiste unifié), suivi de la LCR (Ligue communiste révolutionnaire), se déclare en faveur du droit de vote des étrangers. Cela s’inscrit pour lui dans la perspective d’égalité entre Français et étrangers, et aussi dans l’idée de renforcer la participation démocratique.

En 1974, plusieurs associations antiracistes lancent la candidature
présidentielle (symbolique) de Djellali Kamal, Tunisien de 18 ans , afin de réclamer l’égalité des droits et dénoncer le racisme. Entre les deux tours, un journaliste anglais réclame aussi le droit de vote au nom de l’égalité entre Français et étrangers. En 1977, lors de la campagne des élections municipales, le PS s’engage à assurer des formes de participation locale pour les résidents étrangers, et en 1978, lors de la campagne des législatives, il propose le droit de vote municipal.

En 1981, enfin, la proposition du droit de vote municipal des étrangers figure dans le programme de François Mitterrand, élu président de la République. Mais elle n’est finalement pas réalisée face aux réticences politiques et aux difficultés constitutionnelles.

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Rubrique : La Palme de l'élégance en politique

estrosi,luca,ciottiAprès Christian ESTROSI et Eric CIOTTI dimanche (voir l'article du Canard enchaîné dessous), voici Lionel LUCA, Député et Conseiller Général UMP qui se distingue, dans un autre registre..

LA COURTOISIE CONTONDANTE D'ESTROSI

La stratégie a été décidée par l'Elysée: dès dimanche soir, consigne était donnée de taper sur la presse. Et particulièrement sur la télé publique, accusée de rouler pour Hollande. Avec des accents qui rappellent les habituelles lamentations lepénistes, Sarkozy lui-même ne s'est pas privé, lundi à Tours, de vociférer
contre le "système médiatique absolument déchaîné"et ces "chaînes financées par l'argent des contribuables".

Emportés dans leur élan, certains sarkozystes de choc se sont eux-mêmes un peu trop déchaînés. A Nice, le tandem Christian Estrosi-Eric Ciotti a ainsi confondu éléments de langage et éléments de baston.

A la permanence UMP, sitôt les résultats du premier tour connus, le député-maire de Nice et son acolyte du conseil général dégainent contre
l'"attitude de France Télévisions"Leur sympathique discours s'adresse à deux journalistes de France3 Côte-d'Azur qui ont la malchance de se trouver là. Principal grief: leur chaîne n'a pas dit un mot, dans son jité local, du dernier meeting de Sarko à Nice (20/4). Pour cause de temps de parole, le sujet n'a été traité que dans l'édition nationale.

Descendu de la tribune dans la salle bourrée de militants, Ciotti s'en prend à l'un des journalistes visés. "C'est un scandale ! Vous êtes la télé du PS, vous êtes la télé de la CGT !"Le ton monte, les esprits s'échauffent. Arrivé en renfort, Estrosi prend le relais et passe sa colère sur le confrère, coincé avec sa jeune caméraman au milieu des partisans du maire, de plus en plus remontés. La scène est filmée par un militant. Estrosi menace: "La campagne du second tour, je vais la faire contre le service public. Il faut qu'on change tout ça ! Il faut qu'on balaie tout ça !"Les réjouissances se poursuivent sous les bravos et les applaudissements. Quelques minutes plus tard, les deux journalistes en mènent moins large encore lorsqu'un militant excité s'approche d'eux. Dans le brouhaha, on l'entend parler de "fusiller"quelqu'un, avant d'être calmé par ses amis.

Le 24 avril, sur France Inter, Estrosi a résumé ainsi cette allègre soirée: "J'ai simplement dit ma part de vérité de manière très courtoise."C'est un nouveau concept : L'éructation courtoise.
C.N. 

"Le Canard enchaîné", 25/04

25/04/2012

Tous les résultats du 1er tour de l'élection présidentielle dans les Alpes-Maritimes

resulstats premier tour presidentielle alpes maritimes, communes,circonscription,bureau de vote, cantons

par bureaux de vote : Résultats Presid 2012 BurVot Dpt 06 T1.xls

par communes :  Résultats Presid 2012 Commune Dpt 06 T1.xls

par cantons : Résultats Présid 2012 Canto Dpt 06 T1.xls

par circonscriptions législatives : Résultats Presid 2012 Circo Dpt 06 T1.xls

24/04/2012

FRANCE 3 ferait la campagne de François HOLLANDE dans les Alpes-Maritimes !

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Réaction de Marc Concas Président du groupe

 

Tremblez Mesdames et Messieurs les journalistes : Messieurs Estrosi et Ciotti vont saisir le CSA au motif que FRANCE 3 ferait la campagne de François Hollande dans les Alpes-Maritimes !

 

Nous sommes une fois de plus, à cause de ces deux élus, la risée de la presse nationale.

 

Messieurs Estrosi et Ciotti devraient regarder la réalité en face et ne pas faire peser sur la presse, l'échec annoncé de leur candidat à l'élection présidentielle.