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23/05/2018

La pénétrante de Grasse fête ses 2 ans à 90 km-h

vinciguerra,penetrante,grasse,limitationMonsieur Jean-Raymond Vinciguerra se réjouit de cette limitation mais fait remarquer que presque personne ne la respecte. Ce qui est dommage car pour lui c'était une mesure de bon sens.

Voir l'article de Nice-Matin dans sa totalité :

la pénétrante fête ses 2 ans à 90 km-h-NM23-05-2018.pdf

09/03/2018

L’arrêté du préfet des Alpes-Maritimes du 7 décembre 2015 est entaché d’illégalité et doit être annulé

Var.jpgLa nouvelle implantation du MIN constitue une des opérations de l’aménagement de la Plaine du Var inscrites par le décret n° 2008-229 du 7 mars 2008 parmi les opérations d’intérêt national mentionnées à l’article R.121-4-1 du code de l’urbanisme, lesquelles opérations d’aménagement n’ont pas été, dans leur ensemble, précédées d’une étude d’incidences Natura 2000. Le projet d’implantation autorisée par l’arrêté attaqué, qui s’ajoute aux autres projets d’aménagement de la Plaine du Var, est susceptible d’affecter de manière significative la zone de protection spéciale dite « Basse Vallée du Var » (FR9312025). Par la suite, les associations requérantes sont fondées à soutenir que l’autorisation donnée aurait dû être précédée d’une étude d’incidences Natura 2000, quand bien même les dispositions précitées du code de commerce ne le prévoient pas et que certains projets d’aménagement dans la Plaine du Var auraient fait l’objet d’une telle étude. Cette irrégularité a été susceptible d’exercer une influence sur le sens de l’arrêté attaqué et a privé les intéressés d’une garantie.

Il résulte de ce qui précède et sans qu’il soit besoin d’examiner les autres moyens de la requête que l’arrêté du préfet des Alpes-Maritimes du 7 décembre 2015 est entaché d’illégalité et doit être annulé.

TA Nice-MIN- arret12 decembre2017.pdf

12/02/2018

MAG(1)-Département 06 : Travailler de façon constructive, c'est ce que nous faisons au quotidien

 binome-JRV-MLG.jpg

Nous travaillons de façon constructive, dans l'intérêt des populations et des territoires, non partisane, participative, tout en respectant nos convictions : défendre les droits des plus défavorisés, les personnes âgées, les handicapés, les jeunes en difficulté, les femmes victimes de violences....

Nous avons initié le bio dans les assiettes des collégiens et soutenons la plate-forme 06 à table, produits frais, locaux, bio pour les cantines.

Dans notre canton des résultats : sécurisation des routes départementales, pistes cyclables, parking de covoiturage à Mouans-Sartoux, bretelle de la Paoute sur les rails ....

Nous sommes exigeants pour que les collèges publics soient attractifs, qu’ils  bénéficient de rénovations importantes, face au développement des établissements privés.

Quel sera l’avenir de notre Département, et de ses compétences, face au projet de métropolisation prôné par le Gouvernement ?

Marie-Louise Gourdon et Jean-Raymond Vinciguerra

Groupe socialiste et écologiste

Canton Grasse sud-Mouans-Sartoux

 

 

10/02/2018

Pôle métropolitain ouest : Vinciguerra était précurseur

 

(Photo A.B-.J.)
Jean-Raymond Vinciguerra.

On a coutume de le dire : les paroles s’envolent, les écrits restent. Comme, par exemple, les débats qui ont lieu en conseil municipal et qui se trouvent consignés... pour la postérité. On va donc remonter le temps jusqu’en 2011. Cette année-là, le 9 juillet très précisément, lors d’un échange relatif à un projet de structuration intercommunale, Jean-Raymond Vinciguerra, alors élu d’opposition, s’exprime sur la question. Et que dit-il « l’ignoble JR » ?

Les atouts de l’ouest

Évoquant « la prétention niçoise à accéder au statut de métropole européenne », l’homme dresse l’inventaire des atouts du territoire de l’ouest qui comprend : «Des pôles de compétitivité (Sophia pour les technologies de l’information et de la communication, Cannes pour la technologie spatiale, Grasse pour les arômes et les parfums) ; une activité économique forte et diversifiée recensée par la Chambre de commerce et d’industrie et les ressorts des tribunaux de commerce ; un taux d’emplois par actif qui fait sans doute pâlir d’envie les communes de l’autre rive du Var ; et, pour la renommée internationale, la ville des grandes manifestations et du Festival du film. « Ce territoire, résume-t-il pour ceux qui n’auraient pas bien compris, c’est le triangle Cannes - Grasse - Antibes qui se suffit à lui-même et n’a besoin de personne d’autre que de lui-même et de bien s’entendre. » À ses yeux, pas question « de réunir ce territoire en un seul Établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre », pour des raisons de délégations de compétences très disparates de l’une à l’autre intercommunalité et, surtout, pour des raisons politiques.

Le Far-West contre la « métropolette »

Avec sa verve habituelle, l’opposant écolo, s’épanche : « Les dirigeants des intercommunalités et des grandes communes auraient bien du mal à accepter une perte de leadership et là, ce sont bien les mésententes entre marquis, barons, comtes et princes élus de la majorité [à l’époque] UMP qui bloqueraient ce processus. » Bref, pour lui, la solution consisterait à constituer un pôle métropolitain afin, notamment, « de gérer des projets communs, d’autoriser le règlement d’un certain nombre de problèmes qui tiennent au mode de gouvernance, permettant aux grands élus de ne pas trop rapetisser, et de rassembler le dynamisme spécifique de l’aire Cannes Grasse - Antibes. » Face à ce qu’il appelle « une métropolette », Jean-Raymond Vinciguerra brandit donc, en 2011, l’étendard d’une union au coeur du Far-West des Alpes-Maritimes. Ce même étendard que viennent de hisser (nos éditions d’hier) les maires de Grasse, Cannes et Antibes. Un vrai précurseur ce JR ! 

 Pour aller plus loin  :

http://groupe-socialiste-alpes-maritimes.blogspirit.com/a...

 

 

 

25/01/2018

Penétrante Grasse : travaux entre Perdigon et J. Girard à 2020

penetrante,finition,grasse,vinciguerra,2020Jean-Raymond Vinciguerra prône son prolongement ou plutôt sa finition.

Le financement de cette  fininition n'interviendra pas avant 2020

Voir ci-dessous article de Nice-Matin du 25-01-2018

penetrante-grasse-NM 25-01-2018-JRV.pdf

08/12/2017

JOURNAL INFO 06 : le dérèglement climatique

 

JRV photo.jpgLutter contre le dérèglement climatique, réduire les émissions à effet de serre, réduire les pollutions nocives en même temps, c’est un impératif !

Pour sortir des initiatives les plus courantes qui ressemblent beaucoup à du « green-washing » (une généreuse couche de peinture verte et de pure communication), il faudrait, sans doute, recenser les problèmes réels et y remédier de la façon suivante :

Travailler à mettre les camions TIR (Transports Internationaux Routiers) qui traversent le département sur des wagons, la voie nouvelle est ainsi une urgence ;

Repenser l’urbanisme afin de rapprocher les zones résidentielles des zones d’activité et refuser les grandes surfaces commerciales qui drainent des milliers de véhicules vers leurs parkings ;

Remplacer le traitement actuel des déchets par un traitement plus respectueux de notre environnement. Ceci impose de cesser de brûler près de 800.000 tonnes de déchets bruts par an et, par conséquent, de ne plus transporter, par camion, vers les Bouches du Rhône autour de 100.000 tonnes de mâchefers issus de l’incinération des déchets. Ca demande de commencer par lancer une politique de collecte séparée des déchets fermentescibles et des déchets secs pour permettre de produire un compost de qualité et de recycler une part très importante des déchets secs, le tout sans émission de gaz à effet de serre.

Ce ne sont que trois exemples, mais ils montrent qu’il faut, pour progresser, une volonté politique qui manque singulièrement.

Jean-Raymond VINCIGUERRA

Groupe Socialiste et Ecologiste

http://groupe-socialiste-alpes-maritimes.blogspirit.com

 

13/10/2017

JOURNAL INFO 06- A Monsieur le Nouveau Président du Département

binome-JRV-MLG.jpgA Monsieur le nouveau Président du département

Monsieur le Président, vous allez avoir fort à faire. Les compétences du département sont vastes et essentielles, ses compétences sont clairement définies, nous pensons que notre département doit, avant tout, se concentrer sur la mise en œuvre desdites compétences.

L’action sociale est la première de ses compétences, mais il y a aussi l’accompagnement de l’enseignement, le service départemental de l’incendie et des secours et pour finir d’évoquer les compétences essentielles : les routes.

A ces compétences, notre département a toujours manifesté son intérêt pour les domaines du sport, de la culture, de, de l’environnement, il est peu de domaines où le département n’intervienne pas malgré les lois qui ont transféré certaines de ses compétences à la Métropole et à la Région.

Elus du groupe socialiste et écologiste, nous souhaitons que le département assume ses compétences, au bénéfice des habitants de notre département.

Cela signifie :

  • une attention de tous les instants à la situation et au bien-être des personnes âgées, des personnes en situation de handicap, de la petite enfance, des jeunes en difficultés ; avec des budgets adaptés à ces besoins grandissants.
  • Nous serons attentifs et réactifs aussi et encore à la façon dont on traitera les dossiers des bénéficiaires et demandeurs du RSA. Nous avons souvent été indignés, et nous nous sommes exprimés à ce sujet, par la stigmatisation dont ont été victimes l’ensemble des bénéficiaires, par le soupçon de fraude que l’on a pu faire peser, à la tête de cette assemblée sur ces personnes.  

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01/09/2017

ASSEMBLÉE DEPARTEMENTALE du 1er septembre 2017-Jean-Raymond Vinciguerra

DOB,metropoe,dette,infrastructures routieres,éducation,personnes agées,AISDébat d’Orientation Budgétaire

Monsieur le Président,

Ce débat d’orientation budgétaire est tout à la fois une défense et illustration de votre présidence du département et la feuille de route de votre successeur.

Je ne reviens pas sur l’artificialité de la procédure qui consiste à nous faire débattre sur un DOB, dont, à l’évidence, il faudra que l’on remette le couvert tant il est évident que le budget ne sera pas voté avant le 1er novembre prochain

Votre bilan d’abord, il est bâti sur le mode de l’éloge, on n’est jamais si bien servi, etc.

Il m’est arrivé effectivement de dire dans cet hémicycle, il y a un an environ, que votre gestion avait été bonne, c’était pour votre seconde période : 2012-2016 où effectivement votre gestion a conduit à la baisse de notre encours de dette.

D’abord, il faut le dire, fort artificiellement par la cession à la Métropole, conformément à la loi, d’une part de cet encours (171.5 M€ de dette liée au transfert des routes), ce qui ne nous a pas empêché d’en subir toujours la charge, puisque, toujours conformément à la loi, nous continuons d’en assumer la charge de remboursement par une dotation annuelle de compensation à la Métropole.

C’est ensuite qu’est venue un véritable effort de réduction de la dette, en partie par la vente d’une partie du patrimoine, ce n’est pas une critique, ce patrimoine était pesant et inutile : et en partie par une compression du budget de fonctionnement, mais aussi la baisse des budgets d’équipement, je reviendrai sur cet aspect de votre gestion.

Mais d’abord un mot sur la courbe de l’endettement au long de vos mandats.

Mais, il faut aussi rappeler que s’il est vrai que vous avez trouvé un niveau d’endettement déjà élevé : l’encours de la dette s’élevait au début de votre présidence à 532 M€ ; en 5 ans de 2004 à 2008 l’encours avait progressé de 423 M€, soit une moyenne mensuelle de 7 M€. Vous avez fait mieux, en l’espace de 3 ans de 2009 à 2011, l’encours à progressé de 453 M€, soit une progression mensuelle de 12 M€. Il vous a fallu seulement 3 ans pour doubler l’endettement du département. Il culminait en 2011, à 1 milliard d’€ et depuis.

Donc vous avez été un grand artisan de l’endettement puis celui du désendettement, j’ai préféré la seconde partie, mais je ne peux pas oublier la première.

Quels ont été les moyens de la baisse de l’encours ?

D’abord la baisse des budgets de fonctionnement bien sûr :

En 2009, le ratio dépenses de personnel sur dépenses réelles de fonctionnement était de 19.9 %. Il est aujourd’hui de 18.5 %, nous plaçant sous la moyenne des départements de même importance qui s’élève à 19 %.

Cela pose le problème du niveau de satisfaction des besoins de la population, mais, pour l’instant, grâce aussi à une très grande bonne volonté des services, ce problème ne se pose pas trop.

Mais il y a aussi une forte baisse des investissements dans des secteurs clés de nos compétences :

La plus importante touche les infrastructures routières.

En 2009, 179 M€ de dépenses ont été réalisés,

En 2016, 46 M€ soit une baisse de 133 M€ (-74%)

L’éducation, (les collèges)

En 2009, 81 M€ de dépenses ont été réalisés,

En 2016, 45.6 M€ soit une baisse de 35.6 M€ (-44%)

Le secteur des personnes âgées

En 2009, 174 M€ de dépenses ont été réalisés,

En 2016, 143 M€ soit une baisse de 31 M€ (-18%)

Les ressources humaines, (dépenses de personnel)

En 2009, 202 M€ ont été réalisés,

En 2016, 175 M€ soit une baisse de 27 M€ (-13%)

Vous allez rétorquer que la compression du fonctionnement a été très obérée par la hausse des dépenses de certaines lourdeurs comme la péréquation, la hausse du RSA, le budget de l’enfance et de la famille1 qui vous sont imposés.

1 L’insertion (RSA)

En 2009, 106 M€ de dépenses ont été réalisés,

En 2016, 151 M€ soit une augmentation de 45 M€ (+42 %)

l’enfance famille

En 2009, 95 M€ de dépenses ont été réalisés,

En 2016, 109 M€ soit une augmentation de 13 M€ (+14%)

Enfin, la solidarité territoriale

En 2009, 79.8 M€ de dépenses ont été réalisés,

En 2016, 82.3 M€ soit une augmentation de 2.5 M€ (+3

Mais il y a aussi la solidarité territoriale qui est votre choix, nous ne le contestons pas, mais ce choix a un prix : celui de la baisse des financements des programmes départementaux.

C’est le choix que vous avez fait. Il est frappant de constater que la part des investissements réalisés en direct par le département devient très minoritaire par rapport à la part des subventions d’investissements versées à des collectivités tierces pour leurs programmes.

Cette tendance est totalement inverse à celle des départements de même importance qui ont préféré se recentrer sur leurs compétences propres.

Je partage votre souci de solidarité, mais quand ce souci semble devenir une sorte d’obsession au point d’obérer la réalisation des programmes départementaux que nous devons porter, il faut se poser la question de la pertinence de ce choix quand il est assumé à ce niveau un peu asphyxiant.

Il faut se poser la question des raisons réelles de ce choix, il faut se poser la question de la compétition entre les collectivités de premier rang qui peu à peu sont amenées à soumettre leur capacité à mener une politique de solidarité à une volonté de conquête ou à la recherche de relations privilégiées de personne à personne en charge de l’action publique. La dérive est possible, elle peut sembler être en cours ; je fais partie des seuls ici à avoir la liberté d’avertir de ce travers, je sais que cela sera très mal perçu mais c’est mon devoir de le faire.

Remarque off

Un autre graphique a attiré mon attention. Celui de la page 26 où vous nous présentez la hausse des dépenses d’Allocation Individuelle de Solidarité (AIS) et leur rapport avec la maîtrise des dépenses de fonctionnement. Que dire de ce graphique caricatural pour rester courtois où des échelles différentes sont utilisées à seule fin d’agrémenter le plaidoyer pro domo de votre bonne gestion face à l’incurie de l’Etat. J’attendais de ce bilan plus de sérieux.