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12/08/2014

Nombre de cas de Chikungunya et dengue /pas de cas autochtone

aedes.jpgDonnées de la surveillance renforcée en France métropolitaine en 2014

Du 1er mai au 8 août 2014

08/07/2014

JOURNAL INFO 06-Qui dit sport de nature, dit qualité de l'alimentation, dit équilibre et santé

 cantine-tm104.jpg

Avec le Grenelle de l’environnement, la France s’est engagée à introduire 20% de produits biologiques dans les cantines à l’horizon 2012. Une commune l'a fait dans les Alpes-Maritimes. Depuis 2012, les repas servis au quotidien dans les cantines sont 100% bio et locaux.

Pour couvrir les besoins, une régie municipale agricole a été créée en 2011. La mairie a transformé un ancien domaine agricole de 4 hectares en potager municipal. Un agriculteur communal a été recruté pour produire des légumes bio destinés aux restaurants scolaires. Depuis 2012, la régie produit les légumes nécessaires pour couvrir 100% des besoins des cantines, la viande, les produits laitiers proviennent de fournisseurs locaux. Les enfants participent plusieurs fois dans l'année aux activités de la régie agricole.

Le département peut le faire pour ses collèges, son agriculture et ses enfants. Un projet est à l'étude, nous soutenons sa réalisation.

 

Marie-Louise Gourdon

Maire-adjointe de  Mouans-Sartoux 

Conseillère générale des A.M.

06 86 71 10 70

13/05/2014

En mai 2015, le Schéma Départemental Cyclable 06 aura 10 ans.

velo.jpgEtabli pour favoriser le changement d’habitude et réduire les difficultés dans les déplacements quotidiens, il projetait d’aménager 278 km de réseau structurant de pistes et bandes cyclables sur le département, de manière continue, confortable, homogène et sécurisée permettant notamment aux cyclistes de rejoindre les réseaux des intercommunalités et des communes.

Il prévoyait un montant d’investissements de 50 millions d’€.

À un an de cet anniversaire, l’évaluation de ce plan doit être l’occasion pour le Conseil Général, en lien avec les intercommunalités et les communes, de relancer la dynamique autour des déplacements doux et la lutte contre la pollution.

Il reste encore à faire notamment pour résorber les discontinuités cyclables, déployer un stationnement vélo facilité, sécurisé et peu onéreux pour l'usager, développer des services vélos et l'intermodalité avec les transports en commun.

23/10/2013

De Marseille à Nice, une nouvelle voie ferrée pour plus de confort et de rapidité

cuvillier,RFF pacaFrédéric CUVILLIER a décidé d’accélérer le rythme des études pour ces travaux. Cela inclut :

·         la traversée souterraine de Marseille (2,5 milliards d’euros) avec une nouvelle gare à quatre voies à quai, souterraine également, ainsi qu’une quatrième voie dans la vallée de l’Huveaune entre Marseille et Aubagne

·          une ligne nouvelle entre Nice et Cannes, et au-delà, à l’ouest de Cannes, jusqu’à la jonction avec la ligne Cannes-Grasse (4,2 milliards d’euros).

 

L’objectif est de parvenir à la déclaration d’utilité publique en 2017 pour ces deux sections.

 
Frédéric CUVILLIER a ainsi demandé au préfet de la région PACA, préfet coordonnateur des études, et au président de RFF de lui proposer, pour la fin de l’année 2013, une zone de passage préférentielle pour la 4ème voie de la section « Marseille / Aubagne » et pour la section de la ligne nouvelle « Cannes-Grasse / Nice », sur la base de laquelle seront ensuite poursuivies les études préalables à la déclaration d’utilité publique.

Les études seront également poursuivies afin de définir notamment les mesures conservatoires qui pourraient être prises afin de préserver la possibilité de réaliser deux autres sections :

·         à l’est de Marseille, la section entre Aubagne et Toulon

·         à l’ouest de Cannes, la section entre la ligne Cannes-Grasse et le secteur du Muy.

 

 

 

11/10/2013

A quand le règlement du problème des déchets dans le département ?

Une importante conférence de presse sur le traitement des déchets dans le département s'est tenue au Conseil Général lundi 7 octobre.

L'objectif pour le Président Ciotti :

- diviser la quantité de déchets par deux à partir de 2017

- arriver à l’autonomie de traitement du département en 2025.

La solution passe par :  

 

Le traitement les déchets de la Métropole Nice Côte d’Azur (NCA) au CVE de l’Ariane, ce qui dégagera de la capacité au SMED du Broc

 

La création  :

  • 1 nouveau CVO  à l’ouest opérationnel en 2017
  • 3 centres de compostage de déchets verts (dont 2 sur l’ouest et 1 sur le centre-est)
  • 1 centre de tri des emballages au centre-est
  • 1 ISDND

Pour le Préfet Coltrat : « La solution doit être trouvée avant » 

voir de JR Vinciguera : Conférence de presse Dechets7-10-2013 (2).pdf

 

07/10/2013

PETIT VADE MECUM D’UNE GESTION DIFFERENTE DES DÉCHETS

vinviguerra,dechets06

 

Suite à l'article de Nice Matin du 3 octobre 2013 NM-3oct2013-JRV.pdf

 

Jean-Raymond Vinciguerra souhaite rappeller que la loi "Grenelle1" du 3 août 2009 consacre de nouveau la prévention comme priorité sur tous les autres modes de traitement et fixe comme objectif national la diminution de 15 % d’ici 2012 des quantités de déchets partant en incinération ou en stockage.

Pour atteindre cet objectif :

 

 

- réduction de la production d'ordures ménagères de 7% par habitant pendant les 5 prochaines années,

- augmentation du recyclage matière et organique : taux de 35 % en 2012[1] et 45 % en 2015 (contre 24 % en 2004 en moyenne nationale)

- valorisation de 75% des déchets d’emballages ménagers en 2012,

- valorisation de 75% des déchets des entreprises assimilables aux déchets ménagers hors bâtiment et travaux publics, agriculture, industries agro-alimentaires et activités spécifiques, en 2012.

 

On n’atteindra pas ces objectifs sans trier les déchets, mais bien différemment de ce qui est fait à ce jour…

Il faut avant tout s’équiper de structures qui accueillent des objets en « fin de vie » sans les faire passer par la poubelle :

 

[1] Au 1er janvier 2013, le département en était à 29% de valorisation matière, donc sous la barre.

Lire la suite

16/09/2013

Le SIVADES disparaît le 31/12/2013. Que ferons-nous de nos déchets?

vinciguerra,smed,sivadesLa communauté d'agglomération du Pays de Grasse annonce son adhésion au SMED NM 2013-09-14 -SMED.pdf (Syndicat Mixte d’Élimination des Déchets) dont l'usine de traitement est situé sur la commune du Broc et le centre d'enfouissement sur la commune de Malaussène.

 

Que notre communauté d'agglomération et la commune de Cannes adhère au SMED c'est une chose utile à plus d'un titre :

 

- C'est un pas de plus accompli pour créer une structure départementale de traitement des déchets ; tous ceux qui travaillent sur ce dossier des déchets le demandent depuis au moins 2 ou 3 ans.

- cela permettra d'utiliser une structure juridique commune pour prendre en charge les personnels existants et gérer les équipements du SIVADES (déchetteries, quais de transfert et centre de tri).

 

De là à dire que les déchets de la Communauté d'Agglomération du Pays de Grasse iront à l'usine du Broc, il y a un grand pas que rien ne permet de franchir aujourd'hui ni avant plusieurs années.

 

Explications :

La capacité de traitement en valorisation organique de l'usine du SMED est de 40.000 T. par an. En 2012, en référence aux chiffres officiels publiés dans les bilans 2012 respectifs du SMED et du SIVADES :

 

Le SMED reçoit et traite un tonnage de :

- 20.743,25 Tonnes en provenance des collectes des communes membres du SMED (58 communes du Haut-Pays + Carros).

- 17.316 Tonnes en provenance des communes membres du SIVADES

- Soit : 38.059 Tonnes atteignant ainsi sa limite de capacité de traitement, à 2.000 Tonnes près.

 

Le SIVADES, en 2012, a collecté 86.087 tonnes d'Ordures Ménagères.

- 17.316 Tonnes ont été traitées par le SMED

- 28.018 Tonnes ont été traitées en incinération à Antibes et Nice

- 40.753 Tonnes ont été exportées hors du département pour être traités dans trois centres de traitement des Bouches du Rhône et du Vaucluse.

 

Compte tenu de la capacité de traitement résiduelle de 2.000 Tonnes du SMED, c'est 38.750 tonnes d'Ordures Ménagères que l'usine du Broc devrait accueillir.

 

Il n'est pas possible d'accroître cette capacité de traitement de l'usine du Broc, sauf à construire un autre équipement, ce qui demande un délai de l'ordre de 3 à 4 ans entre la demande d'autorisation préfectorale et la livraison de l'équipement, en passant par toutes les étapes des attributions de marché et de construction effective.

 

Pendant ce délai, sauf à "dégager de la place" à Antibes et Nice dont les incinérateurs sont très proches de leur capacité maximale de traitement, l'exportation hors département de 45% des Ordures Ménagères des communes ex membres du SIVADES continuera.

De sorte qu'il est peu réaliste et peu sincère de dire que l'adhésion au SMED résoudra le problème du traitement des déchets dans le court ou le moyen terme.

 

Que faut-il faire ?

 

Bien évidemment construire un nouveau centre de traitement des Ordures Ménagères.

Pourquoi alors aller le faire au Broc ? Il serait bien plus pertinent de le faire sur le territoire des communes de l'ex SIVADES.

 

Pour conclure :

 

L'usine du SMED n'arrive à produire un compost aux normes acceptables en agronomie que dans une proportion très faible.

 

De ce fait, un équipement du même type ne permettrait pas de respecter les pourcentages de valorisation matière définis par la loi Grenelle de l'Environnement.

 

Pour respecter ces pourcentages de valorisation matière, il est nécessaire que le CVO à construire n'ait à traiter que des déchets fermentescibles, donc de réviser le mode de collecte pour effectuer une collecte séparée des déchets secs et des déchets fermentescibles...

 

Mais ça c'est une autre histoire, qui demande un peu plus de volonté et de travail que de se contenter d'une communication, certes rassurante, mais seulement lénifiante et totalement déconnectée de la réalité.

 

Jean-Raymond Vinciguerra

Conseiller Général Grasse Sud

27/06/2013

JOURNAL INFO 06 - Grasse : Funiculaire et patrimoine

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Funiculaire et gare de Grasse - Belle époque

 

 

 

Grasse, le 3 septembre 2013

Funiculaire et patrimoine

Outre son coût exorbitant, le projet de funiculaire de Grasse, tel qu’il est défini, met à mal un bien commun, un bien public : l’aspect du centre ville et son paysage. Ce centre ancien, nous avons la responsabilité de le transmettre aux générations futures en prenant la mesure de la symbolique des lieux. Cette responsabilité, individuelle et collective, nous alerte quant à l’irréversibilité des interventions sur le paysage. Quelles sont les priorités ? Rendre Grasse plus accessible aux touristes ? Oui ! Mais défigurer le centre ville est un contresens. Mettre en débat le projet, se projeter dans la visualisation du centre ville de demain, avec images et simulations à l’appui, reste à faire. Il faut mettre autour de la table les acteurs, exposer les enjeux et trouver les arbitrages auprès des habitants et des riverains. Respectueux de ces principes, nous avons fait savoir notre opposition à ce projet le 27 juin 2013, lors de la dernière séance publique du Conseil Général.

 

Jean-Raymond VINCIGUERRA

pour le groupe Socialiste Radical et Écologiste

http://groupe-socialiste-alpes-maritimes.blogspirit.com