Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18/04/2018

MAG N° 2 Département 06 :Je suis les liens que je tisse avec les autres, la culture partagée -

 culture,marie-louise gourdon,département,picasso,education

Picasso et la Méditerranée, un événement partagé dans notre Département !

Notre Département accueillera à partir de cet été un magnifique événement artistique international autour de l'œuvre "obstinément méditerranéenne" de Picasso. 

Sur une initiative du Musée national Picasso-Paris, les musées de Nice, Cannes, Mouans-Sartoux, Vallauris, Vence, Antibes, présenteront chacun une vision de l'œuvre de Picasso à l'instar de Chypre, Barcelone, Madrid, Paris, Venise, Rabat...

C'est un événement qui marquera notre département !

Mais la culture c'est aussi la musique et le théâtre et à côté des grands festivals de la côte, les communes du moyen et du haut pays organisent des rendez-vous festifs et remarquables, de grande qualité, satisfaisant la population de nos villages et les gens de passage, en grande partie grâce aux soirées estivales offertes par le Département.

Au-delà de la côte, la culture partagée dans nos villes et villages du moyen et haut pays. 

Cet été, nos médiathèques, nos musées, seront ouverts aussi, et nos villes et villages historiques et bien vivants offriront, bien au-delà du pittoresque, la découverte d'une richesse et d'un patrimoine exceptionnels.

Au-delà de l'attrait touristique et des retombées économiques, cette vie culturelle estivale fait vivre les places et les ruelles, ouvre les curiosités, provoque de belles rencontres.

Il est important que ces efforts soient poursuivis toute l'année, au-delà de l'été, par les communes, avec l'aide des intercommunalités, du Département, de la Région et de l'État.

La vie culturelle, ce n'est pas le plus, ou la cerise sur le gâteau, le luxe d'un été, c'est le fondement d'une vie partagée,  des moments inoubliables qui ouvrent nos yeux, nos sens et notre imagination. Un livre, un film, et c'est  la découverte d’un monde que nous offre un(e) écrivain(e) ou cinéaste. Une exposition, des œuvres d'art, et ce sont nos yeux, nos sens qui créent le plaisir. Un concert, et nous voilà envahis par l'émotion. 

Vive l'éducation artistique et culturelle dès l'enfance !

C'est inépuisable ! Dès le plus jeune âge, par l'éducation artistique et culturelle, nous avons la mission d'ouvrir cette sensibilité chez les plus jeunes, de les mettre le plus tôt possible en face d'œuvres et d’artistes authentiques, de nourrir leur réflexion, d'élargir leur horizon. Leur donner en envie de comprendre, de connaître, de créer, de s'exprimer, d’être des acteurs de leur devenir culturel, de leur devenir tout simplement.

Créer des lieux de diffusion de spectacles, d'exposition, encourager les associations créatrices, c'est notre responsabilité d’élus(es) pour susciter et accompagner les initiatives et la création, accueillir tous les publics et particulièrement ceux qui ne sentent pas à priori concernés.

J'aime cette phrase d'Albert Jacquard, scientifique et philosophe, humaniste surtout, qui disait «  Je suis les liens que je tisse avec les autres". Cela me paraît être une belle définition de la culture ! 

 

Marie-louise GOURDON 

Maire-adjointe à la culture de Mouans-Sartoux

Conseillère départementale des A.M.

Chevalière de la Légion d’honneur



22/12/2017

Marie-Louise Gourdon promue Chevalière de l'Ordre des Arts et Lettres

malou12-12-2013-2.JPGChevalier_arts_et_lettres photo.jpg

"Je ne peux pas vivre sans livre"

Marie-Louise Gourdon a été récompensée pour ses 30 années d'engagement par le titre prestigieux de Chevalière de l'Ordre des Arts et Lettres....

Article de Nice-Matin du 19 décembre 2017 :  NM-20-12-2017-Chevalière de l'Ordre des Arts et des Lettres.pdf

01/09/2017

ASSEMBLÉE DEPARTEMENTALE du 1er septembre 2017-Jean-Raymond Vinciguerra

DOB,metropoe,dette,infrastructures routieres,éducation,personnes agées,AISDébat d’Orientation Budgétaire

Monsieur le Président,

Ce débat d’orientation budgétaire est tout à la fois une défense et illustration de votre présidence du département et la feuille de route de votre successeur.

Je ne reviens pas sur l’artificialité de la procédure qui consiste à nous faire débattre sur un DOB, dont, à l’évidence, il faudra que l’on remette le couvert tant il est évident que le budget ne sera pas voté avant le 1er novembre prochain

Votre bilan d’abord, il est bâti sur le mode de l’éloge, on n’est jamais si bien servi, etc.

Il m’est arrivé effectivement de dire dans cet hémicycle, il y a un an environ, que votre gestion avait été bonne, c’était pour votre seconde période : 2012-2016 où effectivement votre gestion a conduit à la baisse de notre encours de dette.

D’abord, il faut le dire, fort artificiellement par la cession à la Métropole, conformément à la loi, d’une part de cet encours (171.5 M€ de dette liée au transfert des routes), ce qui ne nous a pas empêché d’en subir toujours la charge, puisque, toujours conformément à la loi, nous continuons d’en assumer la charge de remboursement par une dotation annuelle de compensation à la Métropole.

C’est ensuite qu’est venue un véritable effort de réduction de la dette, en partie par la vente d’une partie du patrimoine, ce n’est pas une critique, ce patrimoine était pesant et inutile : et en partie par une compression du budget de fonctionnement, mais aussi la baisse des budgets d’équipement, je reviendrai sur cet aspect de votre gestion.

Mais d’abord un mot sur la courbe de l’endettement au long de vos mandats.

Mais, il faut aussi rappeler que s’il est vrai que vous avez trouvé un niveau d’endettement déjà élevé : l’encours de la dette s’élevait au début de votre présidence à 532 M€ ; en 5 ans de 2004 à 2008 l’encours avait progressé de 423 M€, soit une moyenne mensuelle de 7 M€. Vous avez fait mieux, en l’espace de 3 ans de 2009 à 2011, l’encours à progressé de 453 M€, soit une progression mensuelle de 12 M€. Il vous a fallu seulement 3 ans pour doubler l’endettement du département. Il culminait en 2011, à 1 milliard d’€ et depuis.

Donc vous avez été un grand artisan de l’endettement puis celui du désendettement, j’ai préféré la seconde partie, mais je ne peux pas oublier la première.

Quels ont été les moyens de la baisse de l’encours ?

D’abord la baisse des budgets de fonctionnement bien sûr :

En 2009, le ratio dépenses de personnel sur dépenses réelles de fonctionnement était de 19.9 %. Il est aujourd’hui de 18.5 %, nous plaçant sous la moyenne des départements de même importance qui s’élève à 19 %.

Cela pose le problème du niveau de satisfaction des besoins de la population, mais, pour l’instant, grâce aussi à une très grande bonne volonté des services, ce problème ne se pose pas trop.

Mais il y a aussi une forte baisse des investissements dans des secteurs clés de nos compétences :

La plus importante touche les infrastructures routières.

En 2009, 179 M€ de dépenses ont été réalisés,

En 2016, 46 M€ soit une baisse de 133 M€ (-74%)

L’éducation, (les collèges)

En 2009, 81 M€ de dépenses ont été réalisés,

En 2016, 45.6 M€ soit une baisse de 35.6 M€ (-44%)

Le secteur des personnes âgées

En 2009, 174 M€ de dépenses ont été réalisés,

En 2016, 143 M€ soit une baisse de 31 M€ (-18%)

Les ressources humaines, (dépenses de personnel)

En 2009, 202 M€ ont été réalisés,

En 2016, 175 M€ soit une baisse de 27 M€ (-13%)

Vous allez rétorquer que la compression du fonctionnement a été très obérée par la hausse des dépenses de certaines lourdeurs comme la péréquation, la hausse du RSA, le budget de l’enfance et de la famille1 qui vous sont imposés.

1 L’insertion (RSA)

En 2009, 106 M€ de dépenses ont été réalisés,

En 2016, 151 M€ soit une augmentation de 45 M€ (+42 %)

l’enfance famille

En 2009, 95 M€ de dépenses ont été réalisés,

En 2016, 109 M€ soit une augmentation de 13 M€ (+14%)

Enfin, la solidarité territoriale

En 2009, 79.8 M€ de dépenses ont été réalisés,

En 2016, 82.3 M€ soit une augmentation de 2.5 M€ (+3

Mais il y a aussi la solidarité territoriale qui est votre choix, nous ne le contestons pas, mais ce choix a un prix : celui de la baisse des financements des programmes départementaux.

C’est le choix que vous avez fait. Il est frappant de constater que la part des investissements réalisés en direct par le département devient très minoritaire par rapport à la part des subventions d’investissements versées à des collectivités tierces pour leurs programmes.

Cette tendance est totalement inverse à celle des départements de même importance qui ont préféré se recentrer sur leurs compétences propres.

Je partage votre souci de solidarité, mais quand ce souci semble devenir une sorte d’obsession au point d’obérer la réalisation des programmes départementaux que nous devons porter, il faut se poser la question de la pertinence de ce choix quand il est assumé à ce niveau un peu asphyxiant.

Il faut se poser la question des raisons réelles de ce choix, il faut se poser la question de la compétition entre les collectivités de premier rang qui peu à peu sont amenées à soumettre leur capacité à mener une politique de solidarité à une volonté de conquête ou à la recherche de relations privilégiées de personne à personne en charge de l’action publique. La dérive est possible, elle peut sembler être en cours ; je fais partie des seuls ici à avoir la liberté d’avertir de ce travers, je sais que cela sera très mal perçu mais c’est mon devoir de le faire.

Remarque off

Un autre graphique a attiré mon attention. Celui de la page 26 où vous nous présentez la hausse des dépenses d’Allocation Individuelle de Solidarité (AIS) et leur rapport avec la maîtrise des dépenses de fonctionnement. Que dire de ce graphique caricatural pour rester courtois où des échelles différentes sont utilisées à seule fin d’agrémenter le plaidoyer pro domo de votre bonne gestion face à l’incurie de l’Etat. J’attendais de ce bilan plus de sérieux.

 

07/06/2017

Projet de parcours pour le cerveau : NM 7-06-2017

centre des cedres.png

"Nous avons hâte de voir le démarrage de cet espace dans le parc des Cèdres à Mouans-Sartoux........"

Lire l'article en totalité :

parc-des cèdres-NM-07-06-2017.jpg

02/06/2017

Les subventions au programme de la commission permanente de ce matin

DM12015.jpgaides FDI 2 juin2017.pdf

Aides aux collectivités Cp 2juin2017.pdf

subventions congres 2 juin 2017.pdf

subventions culture-2juin2017.pdf

subventions social 2juin2017.pdf

 

 

 

15/05/2017

Réaction Jean-Raymond Vinciguerra à propos du futur collège de Pégomas

JRV-photo.jpg « Vendredi dernier, écrit le conseiller départemental sur Grasse Sud et Mouans, j'ai, avec plusieurs autres élus, participé à la visite du chantier du futur collège de Pégomas. J'y ai été invité puisque j'étais le conseiller général du canton de Grasse Sud qui incluait la commune de Pégomas de 1998 à 2015, avant d'être l'élu de Grasse et Mouans Sartoux.

À l'occasion de cette manifestation, mon collègue Henry Leroy, (conseiller départemental et maire de Mandelieu-La Napoule, NDLR) a rappelé qu'il était en charge de ce projet depuis 2013. Il m'apparaît utile de rappeler que ce projet de collège a été inscrit au plan collège du département par Christian Estrosi en 2008, à ma demande. Que, d'autre part, le permis de construire de ce collège a été signé par le maire de Pégomas en décembre 2010.

Mon collègue Henri Leroy a en outre expliqué que la décision de construction appartenait au président de l'assemblée départementale, rien n'est plus vrai, Comme il est aussi primordial de rappeler que le président Eric Ciotti sait, pour ses décisions, écouter les demandes de ses élus de terrain, même lorsque leur sensibilité politique est différente de la sienne. »

 

03/05/2017

JOURNAL INFO 06 : 2016 Une grande avancée pour les intermittents du spectacle

JRV photo.jpgNotre département, par sa richesse paysagère et patrimoniale, par son climat, est un des emblèmes du cinéma français. Le Festival du cinéma de Cannes est un évènement mondial de tout premier plan, on se souvient de l’importance des studios de la Victorine ; aujourd’hui de nombreuses communes de notre département offrent des lieux de tournage, notamment de séries télévisées.

 

Tout ce tissu économique, ces festivals, paysages, patrimoine architectural, contribuent à bâtir l’exception culturelle française dans notre département, or rien de tout cela ne peut vivre sans le concours des intermittents du spectacle, tant comédiens que techniciens.

 

L’accord du 28 avril 2016 entre les partenaires sociaux a trouvé un équilibre après 13 ans de débats intenses. Mis en œuvre par décret à compter du 1 août 2016, il constitue une grande avancée permettant à de nombreux professionnels d’échapper aux minima sociaux. Le maintien de ce statut va bien au-delà de l’aide à des professions fragiles, il sert aussi à la promotion de notre territoire à la prospérité économique de nos communes comme à la réussite des manifestations culturelles des Alpes-Maritimes.

 

Jean-Raymond VINCIGUERRA

Groupe Socialiste et Ecologiste

Conseil départemental des Alpes Maritimes

http://groupe-socialiste-alpes-maritimes.blogspirit.com

 

16/03/2017

Lycée Tocqueville : Tragédie évitée

binome2-04-2015.jpgCommuniqué de Presse du 16 mars 2017

Nous partageons l'émotion qu'ont ressentie les élèves, les équipes pédagogiques et la direction du lycée, l'ensemble des personnels et les familles, lors des événements qui se sont produits aujourd'hui au Lycée Tocqueville.

Nous transmettons nos vœux de prompt rétablissement au proviseur du lycée et aux personnes blessées. Nous félicitons les forces de sécurité, les services de l'éducation nationale et ceux de la ville de Grasse dont la rapidité d'intervention a permis de mettre fin à ce drame en milieu d'après-midi, drame qui aurait pu tourner à la tragédie.

Marie-Louise Gourdon et Jean-Raymond Vinciguerra,

Conseillers départementaux de Grasse-Sud- Mouans-Sartoux