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24/05/2019

Grasse-Vinciguerra intervient sur le Projet Martelly-NM 24 mai 2019

JRV-photo 2.jpgLe conseiller départemental de Grasse Sud met les choses au point sur le Projet Martelly.

"L'avenir de notre ville se joue, entre autres, sur le projet Martelly .......".

Lire en totalité son intervention ci-dessous :

 

projet Martelly à Grasse -JR Vinciguerra.pdf

22/05/2019

Jean-Raymond Vinciguerra : Alain Delon

Petite réflexion de Jean-Raymond parue dans Nice-Matin le dimanche 19 mai 2019 ;

"On peut aimer voir un film où Delon montre son talent, ça m'arrive ; de là à l'honorer, c'est une autre affaire.Faire la différence entre l'homme et l'artiste, c'est aussi se demander si l'homme présente les qualités humaines personnelles suffisantes pour honorer l'artiste."

MAG 06 -N° 6 - Accès à l'éducation pour tous les enfants

enfants,education,culture,europeens,raiseyourpencilActuellement, dans le monde, près de 75 millions d'enfants ont un accès limité ou inexistant à l'école en raison de conflits ou de catastrophes naturelles. Or, l'accès à l’éducation et à la culture est non seulement un droit HUMAIN fondamental, mais aussi un besoin essentiel pour les enfants dans les situations d'urgence. Elle est un moyen nécessaire de protection et une source indispensable de tolérance et d'espoir pour les enfants, PARTICULIÈREMENT POUR LES FILLES QUI EN SONT ENCORE PLUS PRIVÉES, auxquels elle offre une possibilité de réaliser leurs rêves et de construire leur propre avenir.

L'éducation dans les situations d'urgence est un domaine d'action prioritaire depuis 2015 au sein de l’Union européenne. La part du budget d'aide humanitaire de la Commission européenne qui lui est affectée est passée de 1 % (13 M€ en 2015) à 10 % (290 M€ fin 2018).

La campagne #RaiseYourPencil a été lancée le 14 mai 2019 pour sensibiliser les jeunes Européen.nes à la nécessité de garantir l'accès à l'éducation pour tous les garçons et les filles victimes de crises à travers le monde. Le Département POURRAIT relayer ces opérations auprès de nos collégiens pour les encourager à exprimer leur solidarité avec leurs pairs que des situations d'urgence empêchent de fréquenter l'école ailleurs dans le monde.

Marie-Louise Gourdon

Groupe Socialiste et Ecologiste

08/05/2019

Hommage à Marceline Loridan Ivens-Discours de Marie-Louise Gourdon du 8 mai 2019

L’image contient peut-être : 2 personnes, personnes souriantes, personnes debout et plein air À Mouans-Sartoux, chaque 8 mai depuis 7 ans, nous rendons hommage aux femmes qui ont joué un rôle déterminant dans la guerre, qui ont défendu les valeurs humanistes et celles de la démocratie, qui ont été Résistantes, qui ont survécu aux camps de concentration.

Avec le conseiller départemental jeune du collège de la Chênaie, Yanis, et mon suppléant Jean-Claude Girone, nous avons déposé un bouquet sur cette stèle en honneur aux femmes.
Le rôle des femmes dans les guerres, particulièrement la 2e guerre mondiale a été tardivement connu et reconnu.
Résistantes, elles ont été agents de liaison, secrétaires, messagères, médecins, infirmières, aviatrices ...
Après Germaine Tillion, Geneviève De Gaulle Antonioz, aujourd’hui entrées au Panthéon, suivies par Simone Veil, après Charlotte Delbo et Lise London, dont je vous ai raconté la vie, aujourd’hui je vous parlerai de Marceline Loridan Ivens.

Ces femmes extraordinaires , ayant survécu au pire des camps de concentration, ont passé le reste de leur vie à combattre les idéologies haineuses, toutes les formes de racisme, en écrivant des livres, des films, en allant vers les jeunes pour raconter pour faire prendre conscience des horreurs commises pendant cette guerre.

Marceline Loridan-Ivens, née Rozenberg, est issue d'une famille juive polonaise installée en France en 1919.
Le 29 février 1944, elle est arrêtée avec son père par la Gestapo et déportée à Auschwitz-Birkenau. Son père, comme 45 autres personnes de sa famille, ne rentrera pas des camps.

Marceline a connu Simone Veil , en déportation, au camp d’Auschwitz-Birkenau - elles s’appelèrent elles-mêmes les filles de Birkenau”.
Elles resteront amies toute leur vie, des vies diamétralement opposées  

   Les deux jeunes filles, 15 ans et 16 ans, ont quitté Drancy et la France le 13 avril 1944, embarquées dans le même convoi, mais c’est seulement au petit matin qu’elles s’aperçoivent pour la première fois, à l’étape du tatouage à l’arrivée au camp d’Auschwitz.
Premier geste sidérant que ce marquage d’un numéro flanqué d’un triangle, demi-étoile de David utilisée pour distinguer les Juifs d’entre les déportés.
Elles viennent d’échapper une première fois à la mort, mais elles ne le savent pas encore : dans ces premiers instants de stupeur, débarquant au beau milieu de la nuit après des heures entassés à une centaine par wagon dans ce convoi 71, des voix glissaient aux nouveaux arrivants : “Dis que tu as 18 ans” ; “Donne ton enfant à un vieillard” ; “Dis que tu voyages seule”...              

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